Un groupe de mercenaire a Havre

[Effectif a partir du 18/05/2014 à 12h00]
Le midi sonne à Havre. Tout le monde s'active, regagnant leur maisons pour y partager un bon repas en famille.
Le soleil, a son zénith, se reflète sur tout objets susceptible de refléter sa douce lumière:

La mer, qui en réfractant les rayon de l'astre solaire, fait miroiter la coque des bateaux.
La fontaine, qui par le même procédé, fait danser une douce lumière sur les maisons environnantes.
Les armures, faisant luire les guerriers de mille feu sur les terrain d'entrainement... Et les mercenaires.

En effet, une ligne de mercenaires approche de havre, mais pas n'importe quels mercenaires. Leur armures sont luisantes, et la personne les dirigeant aborde même des ciselures d'or sur la sienne. Ils avancent de façon organisé, avec un certain rythme.
En entrant dans la ville, un altmer de plutôt grande taille et a la fleur de l'age ( ~25 ans) s'avance et cloue une affiche sur la première poutre venue.
Il montre l'affiche, exacte réplique de Tinuvaïre, et une sorte de servant, a côté de lui, apostrophe les passants :

"Mesdames, Messieurs. Veuillez m'excuser par avance du dérangement.
Mon maître se nomme Tiaël'Fal Dashil'ran du Domaine du Soleil Levant: Pourfendeur de gobelins, Défenseur d'Auridia, Et fervent suivant de sa Reine Ayrenn. Ce personnage, pourtant si illustre, est dans le regret de vous annoncer la disparition de sa chère et tendre promise, Tunivaïre Isil'lassë.
QUI Laisserait un tel homme plein de bonté et de noblesse dans la noirceur que procure un tel manque, celui de l'amour?
QUI Laisserait deux âmes, promise à faire de grande chose a l’unisson, séparées et souffrantes?
Mesdames, messieurs, parmi vous, oui, VOUS, je ne vois personne capable d'une telle cruauté, d'un tel manque de moral.
Je sais, au plus profond de moi, que vous saurez combler le mal qui a été fait: Celui d'un raid de Daguefilante, ayant séparer cette jeune Altmer de son promis, son âme soeur.
Tiaël'Fal, ne pouvant plus vivre dans ce manque, et dans son infinis bonté, offre... Non pas mille, Non pas deux mille, mais bien trois milles pièces d'or a la personne lui ramenant sa chère et tendre.
Merci de votre attention. Je vous souhaites, mesdames, messieurs, une agréables fin de journée."

Les mercenaires se dispersent alors, vaquant a des occupations diverses et variés, entrant dans les lieux publique, étant assez polis et courtois, posant un tas de questions.

Au Quartier général, le tavernier regarde au balcon et soupire:

"La petite est aller se promener. En espérant qu'elle ne rentre pas trop tôt."

Ces événements n'échapperont ni à une paire d'yeux, ni à une paire d'oreilles toujours aux aguets. Le Fusozayiit n'appréciait que moyennement les groupes de mercenaires, habituellement, puisque la moitié d'entre eux cherchaient aussi à le traquer afin d'arrondir les fins de mois. Il aurait espéré qu'après le passage du Thalmor quelques jours auparavant, Havre aurait repris sa quiétude habituelle, mais il ne valait mieux jamais trop se reposer sur ses acquis, en Tamriel, surtout par les temps qui courraient. Il décida de profiter de sa discrétion pour en apprendre plus sur ces mercenaires.

Une compagnie organisée, à n'en pas douter, avait-il déduit en les voyant arriver depuis le coin d'ombre où il s'était réfugié. Ces individus devaient avoir l'habitude de se battre ensembles, et quand bien même la raison de leur présence pouvait paraître anodine, il ne fallait pas douter qu'ils seraient prêts à aller loin pour remplir leur objectif. Une telle somme d'argent en récompense vous faisait pousser des ailes à coup sûr, et ils ne s'arrêteraient sans doute pas aux protestations d'une jeune fille. Ni aux menaces d'un autre groupe tel que la Plume.

Parcourant la ville tout en suivant le mouvement des nouveaux venus à présent dispersés, il alla rapidement d'étales en boutiques, de quais en auberges, faisant marcher les relations qu'il s'était fait au fil des semaines au sein de la ville, faisant passer un message à Havre de son propre cru. Dans les tréfonds de la ville, parmi les gens peu recommandables, les trafiquants, les bandits, les fauteurs de troubles, un message commença à circuler :

"Celui qui vend l'emplacement de la petite Tinuvaïre aux nouveaux arrivants aura à faire au Fusozayiit. Que tous le sachent."

Inutile d'en dire davantage. Le Thalmor l'avait aidé à faire sa publicité à moindre frais, grâce aux avis de recherches qui trainaient encore en ville. Ainsi, des personnes d'allure banales dissimulant un fond bien plus noir commencèrent à faire passer le mot. Les marchands et les aubergistes se virent menacer par des types aux airs dangereux, et bon nombre de fonctionnaires de la garde corrompus firent passer des rumeurs douteuses sur ces mercenaires, afin de leur mettre des bâtons dans les roues.

Dès le milieu de l'après-midi, une bonne partie de Havre était déjà décidée à soutenir le Fusozayiit et sa protégée, que ce soit par réel soutien, ou par peur des représailles. Cela n'empêcherait sans doute pas les mercenaires de trouver Tinuvaïre, mais cela leur prendrait sans doute bien plus de temps avant que quelqu'un accepte de moucheter. Et, avec un peu de chance, le Fusozayiit aurait le temps de trouver l'enfant avant eux, et de la mettre en sécurité. Il se hâta de se mettre lui-même à sa recherche.

Le soir venu, pour la majeure partie de la Plume, toujours aucune trace de Tinuvaïre. Les mercenaires ne semble pas en train de partir pour autant.

[HRP] Pour ceux qui connaissent la situation de Tinuvaïre, merci de la poster ici, afin que tout le monde soit au courant. Sauf si vous voulez garder secret cette information. [/HRP]

La bosmer, pouvait enfin sortir de sa chambre, sortir dehors et contempler le paysage de Val Boisé. Elle n'attendis pas qu'on lui demande pour sortir mais eu la mauvaise surprise de voir ce qui se passait à Havre

Elle vu tout les mercenaires et les rumeurs disant qu'une jeune altmer était recherchée pour 3000 pièces d'or. Curieuse de connaitre l’identité de cette altmer, elle s’avança vers l'avis de recherche. Elle lu l'affiche jusqu'à voir le nom de cette altmer. Seul le nom passait l'esprit d'Aranda "Tinuvaïre".

Etant la seul à savoir où ce trouvait la jeune altmer, elle attendit son retour non loin d'où elle se trouvait. Dès qu'elle aperçu Tinuvaïre, Aranda s'empressa de lui expliquer la situation et de l’amener à l'abri.

Un jour, sans savoir pourquoi, les mercenaires retirent les affiches, faisant circuler le fait que la récompense n'est plus d'actualité.
Enfin, ils s'en vont. Peut de temps après, Tuni revient a Havre, après avoir prévenu Aranda si elle était avec elle, ou au moin laisser un mot en évidence à sa maison.

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